NOTES
La formule est Guizot dans sa notice de Macbeth (tome II) mais il l'emploie dans un tout autre sens: « Les sorcières
sont bien ce qu'elles doivent être, et je ne sais pourquoi il est
d'usage de se récrier avec dégoût contre cette portion de la représentation
de Macbeth; lorsqu'on voit ces viles créatures arbitres de
la vie, de la mort, de toutes les chances et de tous les intérêts de
l'humanité, et qui en disposent d'après les plus méprisables caprices
de leur odieuse nature, à la terreur qu'inspire leur pouvoir se joint
l'effroi que fait naître leur déraison, et le ridicule même d'un tel
spectacle en augmente l'effet. » Mais Forbes est, lui, inventé par Hugo -voir la note, en II, 1, 2 à « dit Jonathan Forbes ».